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Boss Level, Le Dark Souls Des Films D’Activity

Boss Level, Le Dark Souls Des Films D’Activity
Boss Level, Le Dark Souls Des Films D’Activity

Dans cet article, on revient plus en détails que dans notre critique (ici) sur la façon dont Boss Level exploite – et c’est le bon mot – le jeu vidéo dans un celluloid que brain avons trouvé opportuniste dans son vernissage et très moyen quant à sa proffer de cinéma. On n’a jamais été très fan du cinéma de Joe Carnahan, mais mettre les pieds là où il les a mis c’est comme mettre la tête dans un piège à ours, c’est risqué.





On a bien conscience que ce n’est pas simple de parler de jeu vidéo ou même de simplement le référencer au cinéma – surtout quand vous tombez sur des chieurs comme psyche. On ne voudrait pas décourager les braves âmes qui second’y risquent et qui second’y cassent les dents, pas de quoi être triste Boss Level, même le tonton Spielberg sec’est mangé le trottoir avec boy divertissant mais anachronique Ready Player One.





Boss Level, Le Dark Souls des films d'action
©Hulu




On let on ici nos sévères griefs à l’encontre de Boss Level tout en sachant que 50’on pourrait les faire à plus d’un autre cinema sur leur exploitation souvent putassière du médium – chaque bande-annonce de Free Guy head donne des envies de meurtres. D’ailleurs, exploitation putassière ou celluloid putassier tout court, on marche sur la ligne.





Pan et pan puis boum boum derrière





Comme 50’look connue et galvaudée qui fait part de titre pour cet article, Boss Level ne parle pas de jeu vidéo mais le galvaude. Alors oui, il y a bien quelques effets putassiers, comme – sporadiquement – le numéro de la tentative qui apparaît façon écran cathodique ou encore la police force pixel du générique, on est là dans du pur vernis, qu’est-ce qui justifie ces emprunts dans le fond et la chair du celluloid ? La boucle temporelle ? Ça fait un peu jeu vidéo. Le fait d’avoir à affronter des méchants au sein de cette boucle ? C’est pas un peu léger pour lier le tout ? 





Qu’on soit clair, il n’y a pas dans Boss Level de jeu sur les codes, du moins pas au-delà du postulat, qui est dans le fond celui d’une boucle temporelle, un concept qui existe assez au cinéma pour que sa elementary présence ne suffise à tirer des ponts avec le jeu vidéo. Le “Die as well as Retry” est la conséquence d’une boucle temporelle, c’est tout, à ce compte là Palm String pourrait prétendre inclure de 50’esthétique jeu vidéo – heureusement à la différence de Boss Level, c’est un bon celluloid. 





©Hulu




La seule chose qui raccrocherait les wagons serait quoi alors ? La violence ? Le fait qu’il y ait un gentil hormoné avec des flingues et des méchants caractérisés avec et des flingues et des épées et des bazookas ? C’est assez réducteur et crétin pour qu’on puisse mettre une étiquette jeu vidéo dessus ? Assumez vos films. Vous enlevez le jeu vidéo de Boss Level, vous obtenez le même long-métrage ; même déroulé, même scènes et même tics de réalisation dans leurs écrasantes majorités. Sont-ils au courant que la jubilation d’un jeu vient de son exercice et non de boy visionnage ?





Mario le livreur de pizza





Si le cinema assumait un vrai parti pris “jeu vidéo”, vous penseriez vraiment qu’il aurait une voix off ? Dans Boss Level le jeu vidéo n’est que le glaçage à la truelle d’un film qui pourrait de A à Z se dérouler sans. Même les quelques rares références au sein de 50’écriture sont dignes d’un imitation nez. Street Fighter un “side scroller” ? Si ce n’est pas du jargon galvaudé, on ne sait pas ce que c’est. C’est un peu le même coup que Guillaume Musso qui cale un petit “trackpad” au détour d’une phrase, query de donner fifty’impression d’assister à un miracle de technologie alors qu’un personnage vient simplement d’ouvrir VLC sur un ordinateur portable. 





Boss Level, Le Dark Souls des films d'action
©Hulu




Dès que le cinema parle de ou montre du jeu vidéo, c’est pour réciter une prose qu’il ne semble même pas comprendre lui-même. C’est pourtant un signal névralgique pour analyser le rapport du film avec ses emprunts au paysage ludique et interactif. Comment le celluloid parle simplement de jeu vidéo, quel consider addition informel que sa propre forme, lay-t-il dessus ? Il ne résiste pas à cet examen “au naturel », chaque terme sonne comme une référence gimmick. Ce genre de choses – son jargon mal juxtaposé -, ça ne fait effet que de très loin, comme ce gamin qui ne jure que par le “eight bits” et des simili cartes paninis, c’est boyfriend, c’est noble, mais franchement quitte à aller aussi loin, autant mettre des dragons et des chasseurs TIE, au moins à fifty’ikon ça rend bien.





Level without Boss





Le rapport du celluloid avec cette “culture” semble à peu près être le rapport du personnage primary avec celle-ci, à savoir un certain je m’en foutisme – ce qui n’est pas un problème pour le personnage mais un peu addition pour le film. D’où nos gros doutes quant à la sincérité de Boss Level sur ces emprunts. Par ailleurs, le film brain separate vraiment le pire personnage de “geek répugnant” qu’on ait pu voir depuis un bon second au cinéma, il fallait le faire dans un celluloid qui surfe sur le jeu vidéo. Le tenancier de la salle d’arcade est : dodu, le cul planté au fond de sa chaise “gamer”, n’a pas d’enfant par “choix”, parce c’est certainement un puceau doublé d’un con, et il se paie même le luxe d’être un peu arrogant, se la jouant « puriste » pour impressionner tel un dindon le héros. Notre empathie étant toute acquise à Frank Grillo, rare réussite du celluloid, il y a forcément quelque chose de sympathique à le voir recalé. Même si le « tu equally quel age », Fallait oser.





©Hulu




C’est un celluloid qui “parle” de jeu vidéo pour les gens qui finalement ne jouent pas à des jeux vidéo. Et ce n’est pas dit positivement, dans le sens où ce serait un celluloid qui pourrait être équitablement abordé par des joueurs comme des not joueurs – genre Scott Pilgrim -, not là il faut le prendre au sens médiocre du terme, un celluloid qui ne fait que suriner une “vibe” jeu vidéo pour vendre un “divertissement” pardonnable sous le prétexte mordant qu’il est un “divertissement”. Un cocktail aux allures de potage.





Boss degree est sorti depuis le 6 mars 2021.








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